Retrouvez toutes les actualités relayées par l’iDFRights : RGPD, IA, DATA, DSA, DMA et bien d’autres !
Smartrezo la plateforme média réseau social française sans traceurs vous propose une nouvelle émission « Les Indiscrétions de Smartrezo », production de Effisyn SDS.
Dans ce premier numéro, nous avons Jean-Marie Cavada président d’IDF Rignts qui réagit aux incohérences de la Commission Européenne qui s’est illustrée particulèrement sur deux points ces derniers jours.
En contradiction apparente avec la volonté de l’Europe de réguler le numérique et les pratiques des géants américains, la Commission européenne balaye les critiques à l’égard de l’arrivée de sa nouvelle chef économiste à la direction de la concurrence.
Le Professeur Lucas, dont la connaissance en matière de droit d’auteur est incontestable a conclu les travaux du colloque de l’ALAI (Association littéraire et artistique internationale) sur l’intelligence artificielle en affirmant : « il ne faut pas se précipiter dans ce secteur et le droit actuel peut s’y adapter.»
Mais il n’a à notre sens que partiellement raison.
TRIBUNE. Alors qu’Emmanuel Macron s’apprête à annoncer un plan pour soutenir l’intelligence artificielle française, six entrepreneurs partagent leur point de vue au « Point ».
La France, pays des droits de l’homme, ne peut se dérober devant les défis qu’impose, à notre société et ses enfants, le numérique qui est une chance et non un danger.
Après des décennies de tentatives infructueuses, l’Union européenne va enfin se doter d’un instrument majeur au service des entreprises innovantes : le Brevet Européen à effet unitaire.
Le MFA est un projet d’harmonisation des règles qui s’appliquent aux journalistes et aux médias d’informations. Ce texte a été annoncé comme une réponse aux dérives que chacun a pu constater en Europe de l’Est concernant les médias.
Dans le monde de la Tech, les grandes tendances déferlent systématiquement par vagues successives… L’année 2023 sera incontestablement celle de la généralisation massive des nouveaux usages liés à l’Intelligence Artificielle ! De ChatGPT à Midjourney, aujourd’hui, le débat n’est plus exclusivement porté par des experts, évangélistes ou technophiles mais a définitivement envahi le grand public et les médias, touchant déjà potentiellement, tout à chacun, dans son quotidien…
R2PI et le Center for International Intellectual Property Studies – CEIPI vous invitent a célébrer l’Europe ensemble avec un événement sur le thème « Europe et propriété intellectuelle ».
Nous aurons le plaisir d’accueillir Monsieur Jean-Marie Cavada, Président d’iDFRights pour discuter de ce sujet crucial.
La contrefaçon est un fléau pour les sociétés européennes . Elle leur fait courir un risque majeur. Elle est un frein à l’économie et à l’innovation. Elle menace la sécurité et la santé des consommateurs. Ce phénomène s’est aggravé avec l’arrivée et l’essor du numérique.
La contrefaçon numérique représente un marché considérable et les plateformes sont relativement passives dans leur lutte contre la contrefaçon. Il est indispensable de faire de la lutte contre la contrefaçon une priorité et c’est un des objectifs de l’Institut qui considère qu’elle est une tromperie dans la mesure où elle créée une confusion entre le produit original et le produit contrefaisant.
Retrouvez l’intervention de Jean-Marie Cavada dans les rendez-vous du numérique.
Le 8 septembre 2020, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) a rendu un arrêt dans une affaire qui opposait le Recorded Artists Actors Performers Ltd (RAAP) société de gestion collective irlandaise des droits d’artistes interprètes ou exécutants à la Phonographic Performance Ireland Ltd (PPI), Société de gestion collective irlandaise des droits des producteurs de phonogrammes. Il s’agissait de savoir si un Etat membre pouvait exclure les artistes ressortissants d’Etats tiers à l’Espace Économique Européen (EEE) du bénéfice d’une rémunération équitable.
L’Institut des Droits Fondamentaux Numériques (IDFRights) a organisé le 06 mars 2023, en partenariat avec le Groupe La Poste, son AMPHI n° 2, au siège de l’entreprise de service public.
Aura-t-on besoin d’augmenter notre cerveau pour résister aux progrès de l’intelligence artificielle ? Aussi iconoclaste que cela puisse paraître, cette croyance est une de celles qui habitent Elon Musk. Le créateur de Space X et dirigeant de Tesla et Twitter veut, avec les implants de la société Neuralink qu’il a co-créée en 2016, augmenter la mémoire tout comme la « capacité de calcul » des humains.
